mardi 4 février 2014

Chronique : Tome 3 les filles au chocolat (C Cassidy)



Résumé : Summer, 12 ans, voit son rêve d'être danseuse devenir réalité : elle est sélectionnée pour les examens d'entrée dans une prestigieuse école de danse ! Mais, pour elle qui a l'habitude d'être la soeur parfaite aux yeux de sa jumelle Skye, la pression monte. Et ni sa grand-mère, aux commandes de la famille pendant que Paddy et sa mère sont en lune de miel, ni sa grande soeur Honey, en pleine crise d'ado, ne se rendent compte que Summer est envahie par le stress. Le seul qui y prête attention, c'est Tommy, un garçon qu'elle déteste.

Mon avis : ce troisième volet nous fait découvrir le personnage de Summer, l'une des 2 jumelles. Jeune fille perfectionniste qui souhaite à tout prix être danseuse mais justement à quel prix. Elle va sombré petit à petit dans une forme de folie qui l'a conduira à l'anorexie. Nous l'a suivons dans sa descente, elle rejette son entourage et au travers d'une petite voix, l'auteur nous fait comprendre l'engrenage psychologique que ces comportements alimentaires provoquent. La personne n'arrive pas à avoir une vision juste de son corps même en se regardant dans une glace. C'est quelque chose qui est difficile à comprendre quand on ne l'a pas connu, d'un regard extérieur cela parait dur à admettre mais l'auteur arrive à très bien transcrire la détresse de Summer.
Un 3 ème tome pas forcement très joyeux mais qui est très touchant.
Dans ce livre, on continue de suivre les personnages de la famille découvert dans les livres précédents et surtout on continue de suivre la famille recomposée et toutes les petites choses de la vie font ce qu'elle est.
J'ai beaucoup aimé ce livre et j'avoue apprécie le style d'écriture car même sur un sujet difficile on apprécie la lecture et on s'attache aux personnages.
Hâte de découvrir les tomes suivants....

2 commentaires:

  1. C'est une saga que j'aimerai beaucoup lire !

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  2. je te la recommande déjà du fait des couvertures de livre très sympa et on passe d'excellent moment. On les dévore, c'est le cas de le dire.

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