lundi 22 avril 2019
Chronique - pour l'amour d'un enfant (D Ball)
Résumé : Traquée par la, police chinoise, Allison est prête à tout pour garder la petite fille qu'elle vient d'adopter... Pour le groupe d'Américains venus en Chine chercher les bébés qu'ils ont adoptés, l'épreuve touche à sa fin. Après deux années de faux espoirs, Allison Turk, comme les autres futurs parents, tient enfin dans ses bras l'enfant tant attendu... Mais voilà que le ministère chinois des Affaires sociales leur intime l'ordre de rendre les bébés. Une erreur a été commise, d'autres enfants doivent leur être attribués. Dès lors, Allison est confrontée à un choix dramatique : doit-elle abandonner la petite Wen Li, qu'elle aime déjà, ou bien ne pas céder aux pressions et aux menaces de l'impitoyable police chinoise et s'exposer à des dangers insoupçonnés…
Mon avis : Alisson n'arrive pas à avoir d'enfant, après plusieurs mois elle décide de passer à l'adoption. La chine lui envoie la photo d'une petite fille puis elle se rend dans le pays pour récupérer l'enfant. Après quelques jours le ministère précise qu'ils se sont trompés et veulent récupérer l'enfant. Plusieurs famille comme Allison se retrouve face à cette terrible annonce. Que faire ? Allison ainsi que d'autres parents décident de ne pas rendre les enfants et ils s'enfuient bravant ainsi toutes les lois du pays pourtant très importantes et surtout rigides. Suit alors une course poursuite.
Ce livre m'a émue et ce fut une lecture très agréable. Par delà cette histoire on comprend un peu plus la difficulté de tant de famille face à l'adoption et à tous les rouages administratifs.
L'amour d'une mère pour un enfant peut être immédiat et surtout est sans commune mesure. Une mère est prête à tout pour son enfant et ce roman en est un formidable exemple.
Malgré 675 pages, on dévore cette histoire et tout ces rebondissements. Un vrai coup de cœur.
dimanche 7 avril 2019
Chronique - L'élégance du hérisson (M Barbery)
Résumé : " Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois.
Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants.
Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches.
Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. "
Mon avis : j'ai lu ce livre suite à un gage d'un challenge. Et bien le mot "gage" est approprié et pas dans son sens positif car cela a été pour moi un vrai effort (calvaire !!!) de parvenir à la fin de cette lecture.
En effet l'histoire, qui semble sympathique au premier abord est en fait entre couper de longs, très longs passages philosophiques de l'auteur. Des longueurs qui n'ont pas d'intérêt particulier.
On suit Renée, une cinquantenaire, qui a un poste de concierge. Elle est autodidacte et est très cultivée mais pour le poste de concierge elle se forge un rôle afin qu'on ne découvre pas toute sa culture et sa soif d'apprendre.
En parallèle, on a Paloma, une jeune fille de 12 ans, qui a perdu le goût à la vie, elle pense se suicidé et se demande ce qui pourrait la faire changer d'avis.
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