dimanche 7 septembre 2014

Chronique : La liste de mes envies (G.Delacourt)





Résumé :
Jocelyne, dite Jo, rêvait d’être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n’a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie. Elle attendait le prince charmant et c’est Jocelyn, dit Jo, qui s’est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l’épouse) a courbé l’échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu’au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff’Esthétique, 18.547.301€ lui tombent dessus. Ce jour-là, elle gagne beaucoup. Peut-être.

Mon avis : livre qui par son histoire pousse à la curiosité. Qui n'a jamais rêvé de gagner au loto ? mais que ferions nous réellement de tout l'argent ? Bon nombre de gagnant ont tout perdu et se sont retrouvés au fond du gouffre. Comment ne pas perdre la tête avec l' argent ? l'argent change les comportements, faire la différence entre les vrais amis et les profiteurs ?
Bref dans ce livre on découvre Jocelyne qui mène une vie tranquille à Arras avec son mari. Sa vie faite de haut et de bas, l'a entraîné un jour à jouer au loto. Elle a gagné mais ne voulant perdre son existence paisible, redoutant la réaction des gens, elle cache le chèque. Elle décide d'abord de savoir ce qu'elle pourrait faire de cet argent, elle établi des listes mais doute de la réactions y compris de celle de ces proches.
L'histoire nous confirme que l'argent change bien la vie et pas forcement en bien.
Un livre qui se lit très facilement.
J'ai été également très touchée par la postface de l'auteur, dans laquelle il raconte des anecdotes liées à la publication du livre et notamment des gens qui lui ont expliqué que ce livre leur avait ouvert les yeux. Quelques suffisent alors à faire le bien pour certains et ce n'est pourtant que peu de chose.

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